La plume d’Ava Rose Riverin: «riche, foisonnante, aérienne»
Lors de son passage au Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Ava Rose Riverin a donné une entrevue pour «La fois où j’ai tué Laura Bouchard» avec le journaliste Marc-André Côté du Quotidien des Coops de l’information.
Marc-Antoine Côté a été séduit par la plume aérienne, poétique, économe de Riverin. Son deuxième roman, « La fois où j’ai tué Laura Bouchard », vient tout juste de faire son entrée dans les librairies. L’auteure continue d’explorer le sujet complexe de la violence faite aux femmes dans le cadre de relations troubles, voire délétères, dont les victimes en prennent parfois conscience bien longtemps après les faits.
« Ce qui surprend d’abord, en lisant Ava Rose Riverin, c’est cette plume riche, foisonnante, aérienne. Puis rapidement, au fil des pages, on réalise que cette douce écriture est mise au service de sujets durs. Comme la violence, qui se voulait “ordinaire” dans Je suis Pompéi en 2022, et qui se fait maintenant psychologique, sexuelle, insidieuse, dans son deuxième roman: La fois où j’ai tué Laura Bouchard. »
Lire l’entrevue complète dans Le Quotidien, La Tribune, Le Nouvelliste, Le Droit, La Voix de l’est et Le Soleil. 6 octobre 2024.