La fois où j’ai tué Laura Bouchard
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À la mort de Laura Bouchard, une femme abrasive, rigide et taciturne, son fils Simon, découvrira des lettres et des textes cachés parmi ses affaires. Ces fragments ressusciteront le passé occulté de sa mère qui était jadis l’icône du cinéma, Laura Bloom. Une fois enfilés les uns aux autres, ces mots décousus tireront de l’oubli les raisons qui auront poussé cette femme devenue solitaire à fuir et à tout quitter au sommet de sa gloire.
MIKE C. VIENNEAU | CIBL | LIBRAIRE DE FORCE | 24 OCTOBRE 2024
ENTREVUE avec AVA ROSE RIVERIN
MARC-ANTOINE CÔTÉ | LA QUOTIDIEN | ENTREVUE | 6 OCTOBRE 2024
LA TRIBUNE
LA VOIX DE L’EST
LE DROIT
LE NOUVELLISTE
LE SOLEIL
La douce plume d’Ava Rose Riverin, la dure vie de Laura Bouchard
« Ce qui surprend d’abord, en lisant Ava Rose Riverin, c’est cette plume riche, foisonnante, aérienne. Puis rapidement, au fil des pages, on réalise que cette douce écriture est mise au service de sujets durs. Comme la violence, qui se voulait “ordinaire” dans Je suis Pompéi en 2022, et qui se fait maintenant psychologique, sexuelle, insidieuse, dans son deuxième roman: La fois où j’ai tué Laura Bouchard. »
MARC-ANTOINE CÔTÉ | LA QUOTIDIEN | ENTREFILET | 25 SEPTEMBRE 2024
Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean
« Pendant qu’on jase littérature, j’en profite pour vous partager ma lecture du moment: La fois où j’ai tué Laura Bouchard, d’Ava Rose Riverin. L’autrice originaire de Saguenay – que l’on avait précédemment connu avec Je suis Pompéi et qui sera par ailleurs présente au Salon du livre – y raconte, d’une plume foisonnante, l’histoire d’une actrice tourmentée par de nombreux secrets. Vous en entendrez parler sous peu dans votre Quotidien numérique. »
MARIE-ANNE POGGI | CLUB DES IRRÉSISTIBLES | CRITIQUE | 24 SEPTEMBRE 2024
Roman coup de cœur
« Plusieurs thèmes sont ici abordés dans une langue poétique, propre à Ava Rose Riverin, ce qui fait, entre autres, sa force : violence à tous niveaux, abus de pouvoir, vulnérabilité, relation mère-fils, etc. Les propos de ce livre sont tristement d’actualité : il faut en parler ! À la page 96 de son récit, Riverin utilise le mot desquame, « se détacher par lamelles ou lambeaux ». Je trouve qu’il convient au personnage de Laura qui a tenté, sa vie durant, de se forger une personnalité par petites touches. Y est-elle parvenue ? » Texte intégral sur Facebook
PETITELECTUREDUDIMANCHE | INSTAGRAM | CRITIQUE | 23 SEPTEMBRE 2024
« Laura Bouchard, Laura Bloom. Deux noms, une seule femme.
Une actrice au succès immense qui, à force de mensonges, tangue sur le mince fil qui sépare la réalité de la fiction. Ava Rose Riverin frappe encore très fort avec ce roman puissant où la femme est à l’honneur. La femme qui subit et qui survit. La femme qui se souvient et qui transmet. »